Archives Journalières 20 avril 2025

L’eau n’a plus le temps : accélérons ses particules

Vers une fluidique ajustative : modélisation corrélative de la viscosité effective en milieu nanoconfiné

Résumé

Je propose une nouvelle approche conceptuelle et opérationnelle de la viscosité effective dans les systèmes fluidiques nanoconfinés, fondée sur mes théories de l’ajustativité (TCC-HA / T.AJT ⇒ TAG).

Une formule innovante, issue de mes travaux, introduit un facteur d’ajustement corrélatif représentant le degré d’harmonie dynamique entre le fluide et les parois confinantes. Cette approche permet d’intégrer les phénomènes de superlubrification, de glissement quantique et de transport optimisé dans un cadre unifié d’interaction adaptative, ouvrant la voie à une génération de dispositifs fluidiques auto-ajustables.

Cette approche, ainsi que la formule sous-jacente, font l’objet de travaux en cours et sont protégées par leur antériorité de conception.

Introduction

La recherche transversale d’interlocuteurs pour mettre en pratique les fondamentaux de la théorie du cerveau corrélatif et de l’harmonisation ajustative (TCC-HA) et de la théorie de l’ajustativité générale (#TAG) m’a conduit à découvrir les travaux de Lyderic Bocquet et Radha Boyang.

Mon objectif ici est de démontrer une nouvelle fois la transversalité de mes concepts et développements. Cette fois, je vais plus loin dans la démonstration, car ce sujet m’apparaît formidable, compte tenu qu’il s’agit de travailler sur l’un des éléments fondamentaux de la vie humaine : l’eau. Les conséquences d’une augmentation de l’écoulement de l’eau, c’est-à-dire de sa fluidification, peuvent apporter une révolution énergétique, non seulement pour sa circulation mais aussi pour sa captation et son utilisation dans divers domaines industriels et environnementaux.

Pour réaliser ce travail, il me suffit d’avoir mon modèle de base, les composantes de mes travaux en Ingénierie Systémique Relationnelle® (tout n’est-il pas relation ?), ma dubitativité fondamentale et une bonne salve de réflexivité accompagnée par les connaissances accessibles aux IA.

L’eau de là…

Et si on changeait de paradigme ? De la prédictivité, on passe à l’ajustativité, de l’idée du futur, on passe à l’immédiateté, de l’intentionnalité supposée on passe à l’observation effective 360°, des croyances et des incertitudes on passe à carpe diem…

La nanofluidique est un domaine en pleine expansion, mais les comportements inattendus des fluides à très petite échelle restent difficiles à comprendre. Débits ultra-rapides, glissement aux parois, conductivités ioniques anormales, effets neuromorphiques : ces phénomènes peuvent être perçus comme des anomalies par rapport au cadre classique de la mécanique des fluides.

Je propose une relecture de ces effets à partir d’une hypothèse centrale :

Le comportement du fluide dans un environnement nanoconfiné n’est pas déterminé uniquement par des lois structurelles, mais émerge d’un processus d’ajustement dynamique entre les entités en interaction.

Ce principe s’inscrit dans le cadre théorique de la TAG, selon laquelle un système tend à réduire ses écarts internes (bruit, déphasage, dissipation) par ajustement corrélatif avec son environnement.

Aller, c’est parti pour rendre l’eau encore plus fluide

L’ambition de cet exposé est d’accompagner les recherches engagées avec l’idée de rendre l’eau « énergétiquement 1 000 fois plus fluide » : non pas en modifiant sa composition, mais en créant les conditions d’un écoulement où la dissipation d’énergie est minimisée grâce à un ajustement optimal entre fluide et structure.

Cela signifie :

  • Moins de pression nécessaire
  • Moins de bruit et d’instabilité
  • Des systèmes fluidiques à intelligence passive embarquée

Formulation

La viscosité effective ne serait plus une donnée figée, mais le reflet d’une interaction réussie entre fluide et structure. Elle est modélisée comme une viscosité de référence modulée par une fonction d’ajustement dynamique : plus la synchronisation est grande, plus la fluidité augmente.

Par exemple : dans un canal aux parois vibrantes, l’ajustement pourrait être mesuré par la réduction de la musicalité générée par le fluide en mouvement.

Mise en œuvre expérimentale

  1. Canaux rigides vs adaptatifs → Comparer en fonction du type de paroi
  2. Spectre de bruit → Identifier signatures vibratoires et acoustiques de l’ajustement
  3. Fréquence vibratoire contrôlée → Tester l’effet de l’accord entre fluide et structure
  4. Corrélation entre ajustement et dissipation → Évaluer la réduction énergétique comme signature de l’harmonie

Perspectives concrètes

Cette modélisation ouvre des pistes concrètes dans deux domaines vitaux :

💧 Séparation eau-sel : → Une membrane auto-ajustable peut désaliniser l’eau avec une moindre dépense énergétique

Production d’énergie osmotique : → Un système accordé en temps réel maximise le rendement du gradient salin

Ces deux usages confèrent à cette approche un potentiel industriel et écologique majeur, en lien avec les travaux sur les membranes à nanotubes, les dispositifs d’énergie bleue et les technologies fluidiques adaptatives.

Pour conclure

Dois-je appeler à une exploration transdisciplinaire de cette piste, alliant physique, cognition et ingénierie adaptative ? Je laisse la question ouverte — et je suis prêt à en discuter avec ceux qui soutiennent les projets innovants?

#Tags

#TCCHA #TAG #fluidique #nanofluidique #ajustativité #énergiebleue #eau #technologie #innovation #physique #neurosciences #R&D #systèmescomplexes #désalinisation #mécanique #énergétique

#Physicien·ne #Ingénieur·e #mécanique / #énergétique / #systèmes #sciences #Roboticien·ne / #mécatronicien·ne #Neuroscientifique #computation #Bio-ingénieur·e / #biomécanicien·ne #thermique #HVAC #gouvernance #organisation #innovation / #R&D