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La médiation professionnelle : exemples et implication

Les Espoirs de la médiation professionnelle sont remis chaque année à des personnes ou des organisations pour leur recours à la médiation professionnelle.

Cette année, on a pu remarquer que le premier président de la cour d’appel de Fort de France, Bruno Steinmann, a été primé pour son implication dans le développement de la médiation et son ouverture à l’idée du droit à la médiation, comme processus promouvant la libre décision. On a également pu remarquer le médiateur de la police nationale, Frédéric Lauze, pour qui la qualité relationnelle est indissociable de son action de médiateur au sein de cette administration très hiérarchisée.

Cinq Espoirs de la médiation ont donc été remis à la Bibliothèque Nationale de France. L’anniversaire de Denis Diderot imposait sa présence parmi nous, en tant que témoin historique de la liberté de conscience indissociable de la médiation professionnelle. Les Espoirs ont été remis à :

  • Monsieur Bruno Steinmann, Premier président de la Cour d’Appel de Fort de France, auteur de la préface de la 2° édition du Code de la Médiation et du médiateur professionnel, Médiateurs Editeurs 2013. Espoirs de la médiation lui a été remis par M. Remi Delaunay Belleville, délégué CPMN pour les Caraïbes et la Guyane et Jean-Louis Lascoux, Président de la CPMN
  • Monsieur Frédéric Lauze, Médiateur de la Police Nationale. Espoirs de la médiation a été remis par Jean-Louis Lascoux, président de la CPMN
  • http://youtu.be/S0qH1ntD9IY

  • CAPIO – Clinique Fontvert Avignon Nord – Comité d’entreprise. Espoirs de la médiation a été remis par Michel Gratier de Saint-Louis, correspondant de la CPMN
  • Ainsi qu’à :

  • SICOVAL, communauté d’agglomérations. Espoirs de la médiation a été remis par Jésus Rubio, administrateur de la CPMN
  • Maître Philippe Dabadie, cabinet d’avocat. Espoirs de la médiation lui a été remis par sa consoeur, médiateure professionnelle M° Agnès Tavel, administratrice de la CPMN

L’événement annuel de la médiation professionnelle

600px-Symposium-2013-horizontal-inscriptionJ’ajouterais ici qu’aujourd’hui nous rappelle que Denis Diderot est né il y a 300 ans ! L’auteur de Jacques le fataliste fait partie de ceux qui m’ont conduit à penser le droit à la médiation… L’un des fondateurs de la laïcité…

Et dans le domaine de la médiation, là aussi la laïcité a du mal à se faire entendre. Mais nous déployons les actions qu’il faut et la médiation professionnelle a son événement unique à la Bibliothèque Nationale de France cette année encore, les 17 et 18 octobre. La mobilisation est forte pour que cette évènement historique marque les mémoires : les médiateurs professionnels soutiennent un droit nouveau, le droit à la médiation pour tous.

Ils sont nombreux à tenter d’étouffer l’émergence de ce droit pourtant porteur d’une liberté simple : la liberté de décision ouverte à tous, soutenue, maintenue, une liberté de projet et de sérénité.  Ils sont nombreux à le combattre déjà, parce qu’il vient contrarier leur modèle d’une société de servitude du plus grand nombre. Pourtant ce droit est fondamental. Il faut qu’il soit mieux compris par l’ensemble de la population.

Imaginez une seule situation : si vous êtes traîné(e) en justice, vous serez quoi qu’il en soit deux à devoir vous soumettre à la décision judiciaire. Si jamais vous êtes conduit à aller à en médiation, vous serez deux à prendre une libre décision. La différence est entre soumission et liberté. La différence est très nette, même si elle parait a priori difficilement concevable, parce que le modèle de servitude est une forte habitude. C’est là qu’il est indispensable d’avoir à faire à des médiateurs professionnels, comme il a été conçu une justice avec des magistrats professionnels. Dans ce domaine comme dans l’autre, l’amateurisme n’a jamais été une instrumentation satisfaisante. Pour faire face à la déjudiciarisation des affaires, il convient que des professionnels puissent intervenir.

La suite sur le médiatoroscope

Qui donc me fait mauvaise réputation dans le microcosme de la médiation ?

Ah, la réputatigeorges-brassens-georges-brassens-la-mauvaise-reputation-et-ses-plus-belles-chansons-112037269on. Voilà que plein de gens me connaissent. Super, mais apparemment ils me connaissent avec une réputation sulfureuse. Normal, ça ne provient pas du monde de la laïcité. L’ignorance est terrible. Pour me prévenir, et ce n’est pas la première fois, je reçois ce gentil message de la part d’un utilisateur de Linkedin, à l’occasion d’une discussion sur la médiation internalisée.

Le 18/09/13 2:19,  R.D. a écrit :

Bonjour,

Je profite de votre point de vue sur le sujet posté par Claude, pour vous poser une question personnelle sans la partager avec les autres intervenants.

J’ai entendu beaucoup de critiques à votre encontre et sur les méthodes qui seraient celles de votre organisation.
N’étant pas de nature suiveur en matière de rumeur, je préfère remonter à la source pour savoir ce qu’il en est.
Pourquoi selon vous, y-a-t-il tant de critiques ?
Vous n’êtes bien entendu pas obligé de répondre, et si vous le faites cette dernière restera entre nous.
Bien à vous.

============== Ma réponse============

Bonjour et merci. Vous pouvez poser cette question publiquement. D’ailleurs, je vais publier ma réponse, parce que ça se répète alors autrement clarifier. En conséquence, je suis ravi de vous éclairer.

Je serai direct : les critiques à mon endroit viennent de personnes liées ou formées à l’institut catholique et plus spécifiquement à l’IFOMENE. Elles peuvent être aussi infiltrées dans les formations universitaires. Demandez où ces personnes qui véhiculent ces critiques ont été formées. Vérifiez, parce que le mensonge participe de cette stratégie de mise à l’index, au demeurant contre-productive, parce que je trouve cela stimulant. On l’a vu avec une intervention d’une avocate prétendant être médiatrice sur le site village de la justice qui me désignait stupidement comme auteur d’un article alors qu’il était écrit par une de ses consœurs. Pourquoi ? semer le trouble, le doute, ne pas répondre sur le fond. Que sais-je ?

Des enjeux fondamentaux se jouent dans la médiation des conflits

Il convient de comprendre ce qui se passe dans le monde de la médiation. Les enjeux ne sont pas seulement économiques, ils sont culturels, cultuels et politiques.

Aujourd’hui, il existe deux options pour la médiation, la version moralisatrice qui déteste dire qui elle est et la version laïque que représentent les organisations EPMN, CPMN et ViaMediation. Dans l’autre courant, globalement, il y a un ensemble d’organisations qui ont fait cause commune et sont particulièrement critiques, voire dénigrantes, procédé classique du sectarisme ambiant. Ces organisations se sont d’ailleurs unies dans le Regroupement des organisations pour la médiation (ROM… le sigle choisi est significatif genre tous les chemins y mènent…). Alors, oui, ces critiques sont centrées sur moi à défaut de pouvoir l’être sur le contenu, puis le dénigrement glissent sur les organisations de la “médiation professionnelle”, dénonçant opportunément arrogance, insolence et que sais-je ? Les propos me sont venus même dits à mes proches. Stratégie concurrentielle qui repose sur des causes précises qui sont à l’origine des différences de conceptions très importantes en matière d’intervention, de techniques, d’instrumentation, de processus et de dynamique culturelle ; autrement dit, en terme de professionnalisme ou de complaisance :

  • je n’ai pas accepté de me “soumettre” à l’autorité morale du prêtre Jean François Six (déclinée CMFM, ANM, etc) puisque j’ai créé une école laïque, ni de rejoindre le mouvement de Stephen Bensimon (IFOMENE, ICP, GEMME) et l’ordre des avocats de Paris (FNCM et les centres liés à différents barreaux) ;
  • j’ai initié la “médiation professionnelle”, contestant ainsi l’intuitivité et le bon sens qui étaient revendiqués jusqu’alors pour exercer et j’ai ainsi inventé le concept du “métier de médiateur”, dissocié en conséquence de la profession d’avocat et de manière générale de juriste, de psychologue et de moraliste (cf. mon livre “Et tu deviendras médiateur…”).
  • j’ai dénoncé la pratique de la MAMIF et de médiatrices qui ont conduit à la prison et non en médiation (l’affaire Gettliffe est encore dans certaines mémoires ;
  • nous avons créé le premier Code d’éthique et de déontologie de la médiation, le CODEOME, qui a été copié jusqu’au Québec et a fait l’objet d’un pompage sans citation mais flagrant pour l’élaboration du code de certaines organisations françaises – A chaque fois, évidemment, nous avons réagi ;
  • la CPMN demande l’abrogation du diplôme d’Etat de médiation familiale qui est une aberration ;
  • une décision du CA de la CPMN a arrêté un rapprochement que j’avais pourtant tentée avec la FNCM voici deux ans
  • nous avons une démarche professionnelle et nous interdisons le parasitisme (quelques personnes de l’ANM ont parasité des marques déposées et tandis qu’elles refusaient la discussion, la procédure les a contraint à cesser.
  • en tant qu’initiateur du concept de “médiation professionnelle” (cf mon ouvrage pratique de la médiation professionnelle- ed. ESF), je fais en sorte que cette matière que j’ai développée en tant que “discipline à part entière” ne soit pas galvaudée par qui que ce soit, ce qui fait des jaloux
  • des personnes ont été suspendues l’an dernier de notre organisation pour exercice non éthique de notre pratique professionnelle (cf. le CODEOME). Une procédure est en cours, ces personnes ayant refusé la médiation prévue par notre code
  • nous avons sorti le Code de la médiation, recueil préfigurant le travail inévitable du législateur, 2° édition cette année
  • nous avons pris position relativement à la propagation des “risques psycho-sociaux” et de son substitut la “qualité de vie au travail” RPS et QVT et démontré que les études faites sur ces thématiques étaient parasites sur les finances des entreprises et portaient préjudice aux relations et aux personnes en introduisant une mystique pseudo-scientifique dans les rapports humains. Conférences à Ajaccio, Bordeaux, Lille, Lyon : l’idée ne plait pas à ceux qui en ont fait leur marché : la médiation professionnelle est un antidote à ces représentations inopérantes, tandis que la mise en place de dispositifs de médiation professionnelle dépasse la prévention des différends pour constituer une instrumentation au service de la qualité des relations
  • à cela s’ajoute que je n’ai pas de complaisance pour ces techniques fast-food qui consistent à tremper la mie de son ignorance dans les sauces américaines de “développement personnel” : analyse transactionnelle, programmation neuro-linguistique, mentalisme, etc.

C’est donc dans ces apports concrets que les “amis de la médiation” et ses amateurs 😉 puisent leurs causes de jugements et en plus je ne me prends pas (forcément) au sérieux, ce qui empêche la prise des attaques toujours à vocation d’être désagréables, sinon ça ne serait pas drôle… Ca agace et je poursuis mon chemin.

Autrement dit, je ne suis guère “confraternels” avec des non-professionnels.

Ainsi, plusieurs conceptions de la médiation co-existent. Il convient d’arrêter de jouer à cache cache. La laïcité en prend pour son grade. Lors des débats concernant le mariage, deux camps se sont révélés dans la médiation. Et tout cela est lié, bien évidemment parce que la liberté de penser s’arrête pour ceux-là lorsque vous commencez à affirmer vos conceptions des choses et qu’elles se révèlent comme provoquant un inévitable changement. On vous appelle à la modération, c’est à dire à vous taire. Mais quand votre plaisir de bâtir vous porte, et que le risque n’est plus à l’inquisition, on peut avancer sans voile ni masque. Donc, deux camps entre la liberté de conscience (droit de ne pas croire, liberté de critique) et la liberté religieuse (croire comme postulat et ne rien dire sur les croyances des autres, avec développement de la religion dans l’enseignement). Ainsi :

  • ceux pour le mariage pour tous ou qui considèrent que la liberté des autres n’est pas un problème pour eux
  • ceux qui étaient contre et on a bien vu d’où venaient une grosse part des financements : l’Eglise catholique (cf. ICP, IFOMENE embarqué).

Au passage, j’ai identifié les quatre courants de pensée qui traversent la médiation des conflits :

  1. confessionnel (judéo-chrétien – nous n’avons pas vu vraiment pointé encore une version islamique de la médiation en France, mais bouddhiste un peu et sectaire beaucoup…)
  2. juridique (encadrement par les professionnels du droit, référence à l’ordre moral et l’ordre public, rappel éventuel à la loi et aux convenances)
  3. psychologique (tout le monde est bon pour le divan ; le conflit ça se soigne, on thérapise) très développée en médiation familiale
  4. et le courant rationnel, fondé sur une recherche scientifique que j’ai initié, lié à la pensée cartésienne et de Diderot : le conflit résulte de l’ignorance humaine ; la responsabilité se construit avec l’épanouissement de la conscience ; ce n’est pas naturel, ça s’acquiert.

Pour faire simple, nous pouvons distinguer deux types de médiation :

  • la médiation pour que les gens se conforment (avec tout le petit monde animé autour de l’ICP, Stephen Bensimon, Blohorn- Breneur, etc…); soit la médiation pour obéir ;
  • la médiation professionnelle (EPMN, CPMN, ViaMediation) qui vise à permettre aux gens de rechercher vraiment par eux-mêmes, avec l’assistance du tiers médiateur professionnel, l’accord qui leur conviendra le mieux ou le moins mal, dans une quête d’altérité et de pacification en dehors du référentiel d’a priori qu’il fait bon de revendiquer. C’est ainsi que vous pouvez lire utilement de la Boétie Discours de la servitude volontaire et vous trouverez l’un des fondements de cette approche : la médiation pour réfléchir.

Le débat sur la laïcité est bien là. Mais il n’implique pas seulement ce débat. Il est aussi question de la liberté de religion et de la liberté de conscience, et enfin du devenir de toutes ces activités et professions qui font de la “gestion de conflits” un super marché lucratif tandis que j’insiste sur l’objectif de la médiation professionnelle qui est de promouvoir l’altérité et la qualité relationnelle, en toute liberté.

Désormais, les organisations de la médiation professionnelle promeuvent le droit à la médiation et ce dernier né agace aussi encore plus parce qu’il vient marquer un droit qu’il va être difficile de contester. Notre symposium annuel est aussi un évènement de plus en plus important…

Les raisons de critiquer peuvent être nombreuses pour les jaloux. Le bûcher n’existe plus, mais l’art de la rumeur est la pratique choisie par ces personnes qui savent bien qu’elles vont devoir changer, parce que le droit à la médiation est en marche. Laïque. 😉

N’hésitez pas. Faites le savoir…

Cordialement

Ps : ha j’ai même oublié que je suis en procès contre la CEGOS pour l’appropriation du contenu de la formation que j’ai élaboré. La directrice de la CEGOS est l’ancienne Secrétaire Générale de l’Institut Catholique de Paris. Ce n’est pas fait pour arranger les relations tout cela. Mais dans cette ambiance, ça permet d’être dans une compétition et les choses progressent encore mieux finalement 😉

 

Que penser de la médiation étrangère en Egypte ?

Avant l’annonce de l’échec de la médiation internationale en Egypte, j’étais en train d’écrire un article en prévoyant cette sortie inéluctable. Non, je ne suis pas équipé d’une boule réfléchissante, mais de l’évidence de la raison. La manière dont les médiations sont engagées par les intervenants américains ne laissent guère présager de sortie de crise grâce à leur entremise. Ils arrivent avec leur façon de considérer les enjeux et les intérêts, le droit et la morale, et cherchent à l’imposer. Ils y vont de leurs préconisations en public pour “restaurer la démocratie” selon leur conception. Ils ont en main le livre religieux du christianisme et ne peuvent accepter en face d’eux des laïcs. D’évidence, ils préfèrent avoir d’autres religieux, même s’ils n’ont pas le même manuel de référence. Car c’est un point que l’on oublie un peu trop souvent, la politique des Etats-Unis est associé à la bible, dans sa lecture la plus primaire, la moins conciliante, la plus violente.
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J’ai regardé l’émission Déshabillons-les, sur Public Sénat

La chaîne Public Sénat a cédé à la tentation du style horoscope. On paie pour ça parce que la rédaction fait dans la démagogie et des journalistes se roulent dans les sornettes intellectuelles. J’ai regardé le 3 avril 2013 Déshabillons-les. Qui “les” ? Les politiciens, bien-sûr. Alors, cette fois, le premier ministre était mis sur la piste de la “pole danse”. Sur le plateau, deux spécialistes du langage l’un des mots l’autre des gestes.

Stéphane Bunard était là. C’est qui ? Il est étiqueté “synergologue” ; ça désignerait un champ d’étude du non-verbal. Là, il m’a convaincu : en un temps record il a fait valoir l’ineptie de cette approche. A coup de références invérifiables, il a fondé son argumentation. (suite…)

De Tapie à Cahuzac, Besson en passant par Pasqua et …

Le scandale produit par l’arrogance de Jérôme Cahuzac face à la presse enthousiaste n’a rien de spécial. La différence est l’insistance,  voire l’acharnement auraient dit certains, à vouloir présenter Cahuzac comme exceptionnel dans son mensonge, exceptionnel dans son ascension politique, exceptionnel dans sa manière de faire de l’argent. (suite…)

Action de groupe : le gouvernement ne répondra que si vous cliquez…

Le gouvernement est en train de faire naître une nouvelle pratique “démocratique” avec internet. Désormais, la loi pourrait bien n’être inspirée que par les seuls internautes. Ceux qui n’utilisent pas internet, ceux qui n’ont pas envie de se coller les doigts sur un clavier, ceux dont le cerveau est réticent aux petits écrans, ceux-là ne peuvent pas participer à la démocratie par le clic. (suite…)

Rengaine : les choses s’améliorent mais pas pour tout le monde…

Pour aller à Suresnes ou bien à Charenton
Tout le long de la Seine on passe sous les ponts
Pendants le jour, suivant son cours
Tout Paris en bateau défile,
L’ cœoeur plein d’entrain, ça va, ça vient,
Mais l’ soir lorsque tout dort tranquille……. (suite…)

La médiation professionnelle, pour améliorer l’exercice de la libre décision et de la qualité relationnelle

La médiation, on en parle. Il n’y a pas un jour sans qu’il ne soit question de médiation, de médiateur, quel que soit le domaine : économique, politique, social, familial, entreprise, institutionnel… L’effort de promotion est constant, partout, dans le champ de l’initiative privée et dans l’action publique. Si le législateur français s’embrouille, confondant ici et là médiation, négociation, conciliation et arbitrage, il n’est pas le seul et la France n’est pas plus en retard que les autres pays sur ce point. Il n’y a pas de compétition à engager sur ce terrain : la médiation se répand partout et c’est pour le bien de tous. (suite…)